Le site de
PATRICK TUDORET
RENDEZ-VOUS SUR MON NOUVEAU SITE : http://patricktudoret.net/
A PROPOS DE L'HOMME QUI FUYAIT LE NOBEL (Roman, Grasset, 2015 et poche en 2018) :
« Magnifique, lumineux. », Olivier L’hostis, librairie L'Esperluette, France 2/Télématin
« On se sent mieux après l’avoir lu », Damien Thévenot, France 2/Télématin
« Sensible et profond », Etienne de Montety, Le Figaro littéraire
« Magistral ! Un des plus grands romans parus cette année », Coup de cœur de François Maillot, DG de la librairie La Procure
« Très fort, bouleversant. », Victoria Monfort, chaîne D8
« Profondément bouleversant, magnifiquement écrit. », François Maillot, KTO TV
"Des lettres magnifiques qui sont de véritables cris d'amour", Bruno Frappat, La Croix
« Le trait est brillant, le portrait admirable. », Philippe Renonçay, Service littéraire
« Le roman généreux d’un écrivain talentueux. », Jean-Claude Perrier, Livres Hebdo
« Un choc littéraire et un véritable cadeau. », Radio Notre Dame, « Vox Libri »
"Drôle et profond", Alain Favarger, La Liberté (Suisse)
« Un excellent roman initiatique », Version Femina (supplément du JDD)
« Un livre tout en poésie et en grâce. » Cécilia Dutter, Le Salon littéraire
« Parfois poignant, souvent drôle, un superbe éloge de la vie. » Marie Torrès, MicMag
« Il fera vos délices ! » Anne-Marie Mitchell, La Marseillaise
« A la fois poétique et bouleversant. » Sébastien Dubos, La Dépêche du midi
« Un très bel ouvrage où le drôle se mêle à l'épique, à l'extraordinaire. » La Nouvelle République
« Une écriture de maître, souveraine. Un chef d’œuvre ! », Didier Presse, Amazon.fr
« Notre coup de cœur : fort, bouleversant mais l'humour n'est jamais loin. », Librairie les Petits mots, Meudon
« Bouleversant : une subtilité d’écriture hors du commun », coup de cœur de Christophe Aimé, Librairie M’Lire Anjou
« Un merveilleux roman. », Virginie Neufville, Blog Littéraire
« Lisez ce merveilleux récit ! » Muriel Pautet, Babelio
« Patrick Tudoret a un génie dans ce roman : rappeler que l’amour est tellement commun. Et tellement miraculeux. », Apar.TV
« Quel bonheur de trouver cette petite perle » La maison des bouquins
ETC.
Fromentin, le roman d'une vie (Les Belles Lettres)
Coup de cœur de la chaîne de TV Histoire, mars 2018 :
- « La rencontre de Fromentin et de Patrick Tudoret : un livre magnifique. », François Huguenin, chroniqueur.
- « Une très très belle biographie. Tudoret est un grand styliste. », Jean-Christophe Buisson, directeur adjoint de la rédaction du Figaro Magazine, présentateur de l’émission.
« Une biographie de haute graisse, raffinée et perspicace. La vraie littérature est là. Il faut lire Fromentin et Tudoret. On y respire à pleins poumons. » François Cérésa, Edito, Service Littéraire, avril 2018.
« L'écrivain Patrick Tudoret excelle à rendre la finesse d'âme de cet « hyperesthésique » accablé par une acuité sensible extraordinaire. » Rémi Soulié, Le Figaro Magazine, juin 2018
« Un portrait fraternel où la délicatesse de Fromentin, l'auteur de Dominique, trouve écho dans l'élégance de la langue de Tudoret », Jean-Marc Laurent, Le Populaire du Centre, avril 2018.
Printemps acide (De Borée, coll. "Marge noire")
"Un brillant polar à la française au style enlevé, à l'humour acéré. Un roman explosif aux lisières du pouvoir"
« Ce polar acéré est une plongée fascinante dans les arcanes de la police que l’auteur semble bien connaître. Un livre brillant qu’on savoure comme un café crème sur une terrasse inondée de soleil. Attention, l’épilogue est inattendu et saisissant. », Christophe Ferré, Service Littéraire, juin 2018.
« Avec le très beau Printemps acide, Patrick Tudoret donne l'impression de vivre l’intrigue de "l'intérieur", comme si, dans une autre vie, il avait été commissaire ou lieutenant de police. », Marie Torrès, MicMag, mai 2018.
« Patrick Tudoret s’essaie avec réussite au roman policier. Printemps acide est une enquête caustique dans le cercle politique. C’est aussi un beau roman d’amour. Il paraît décidément à l’aise dans toutes les disciplines. » Jean-Marc Laurent, La Montagne, mai 2018.
« Une intrigue vénéneuse aux marges de la politique et de la pluie qui tombe comme dans un roman de Simenon. Un polar enlevé. Un beau moment de lecture. » La Nouvelle République, mai 2018.
